C’est pas pour chipoter
mercredi, novembre 9th, 2011C’est internet qui le dit
jeudi, septembre 30th, 2010Alors que j’étais en train de discuter tranquillement sur msn (pour les québécois, lire « clavarder ») travailler intensément, je me vois devoir écrire
ça devrait suffire
… et me voici pris d’un affreux doute : doit-on écrire suffire ou simplement suffir ?
Me voici donc à chercher ma voie en cherchant suffir sur Google qui devrait bien prendre soin de me remettre sur le droit chemin en cas d’erreur.
La première réponse semble en effet me corriger.
À 13 ans près …
jeudi, juin 17th, 2010… j’aurais aujourd’hui passé le bac Philo.
Parmi les sujets :
Dépend-il de nous d’être heureux ?
C’est un point de réflexion que j’ai de longue date, comme pourraient l’attester les billets de l’autre blog.
Par éducation, j’ai bien tendance à le croire, le bonheur serait avant tout une tournure de l’esprit, une manière de regarder les choses. La France est je crois un pays où les gens sont assez peu heureux. Bien sûr, la situation matérielle est difficile pour beaucoup, mais tout de même, dans plein de pays où l’on vit moins bien, les gens ont d’avantage le sourire.
Mais alors, si être heureux dépend de nous, et qu’on ne l’est pas, c’est bien fait finalement ! L’on va donc non seulement être malheureux, mais en plus s’en sentir coupable.
La solution étant en nous … il faut donc décider d’être heureux. Hyper facile bien sûr. Ça ressemble pas mal au conseil précieux que je donne à I. lorsqu’elle est stressée :
Ne stresse pas !
ça, c’est du conseil ! Le truc auquel personne ne pense. Ben oui, c’est complétement con de stresser, alors arrête et on n’en parle plus !
La solution donc serait de changer, et d’être heureux. Une méthode consiste à aller voir un psy pour ça. Ça marche pour certains, peut être même pour beaucoup. Avant, il y a tout un tas de trucs qui nous gênent. Après il y a tout ce même tas de truc, qui ne nous gêne plus. Et quand on dit ça comme ça, on se dit que le super conseil n’est pas si mauvais que ça.
« Yapuka » comme on dit. Alors n’oubliez pas : soyez heureux ! Et partagez vos petites recettes
Aussi, ce n'est pas compliqué non plus
lundi, mai 24th, 2010Avec I. on ne s’engueule jamais. Mais on aime bien se taquiner, surtout sur l’usage du bon Français. Je connais beaucoup de Canadiens (par mon ancien boulot), qui parlent comme des charretiers et qui pourraient à l’écrit donner des leçons de grammaire aux Français les plus érudits. Ainsi, un ex-collègue qui à l’écrit corrigeait des fautes minuscules sur mes propositions pouvait tout à fait me demander à l’oral « qu’est-ce que c’est qu’on fait ? » … sisi je vous jure !
Mais ça n’a pas vraiment de rapport avec ce qui m’intéresse là tout suite : l’usage du aussi et du non plus. En principe ça a l’air simple : un aussi pour « également » dans une tournure négative devient « non plus » et on n’en parle plus.
Et pourtant, je me suis fait surprendre à utiliser « aussi » dans une phrase négative, et à trouver que c’était approprié.
Déjà, quand on met « aussi »
dans le sens d’une explication (comme dans « c’est un peu décousu mais je vous retranscris ça pêle-mêle aussi » ) ce qui peut donner :
Il ne fallait pas me donner ce couteau de boucher en présence d’un hamster aussi.
En effet, mettre « non plus » ne donne aucun sens à la phrase …
J’ai presque réussi à convaincre I. de cet usage.
Mais il y a aussi lorsque c’est une phrase négative, mais que la précédente ne l’était pas :
Je me suis coupé, mais je ne me suis pas brûlé aussi.
Alors, mes chers lecteurs, si jamais vous avez des arguments qui vont dans mon sens, balancez ! Et si vous avez des arguments dans le sens d’I., je censurerai les commentaires 🙂
Le complot du monoprix
mardi, juin 3rd, 2008J’ai une grand théorie sur les supermarchés, elle est horrible et si ça se trouve, complètement fausse. D’ailleurs je l’espère, ça me rassurerait sur la nature humaine.
Elle part d’un constat très simple : j’habitais dans le 6e, et il y avait à proximité :
– un champion : rayonnages super cheap, caissières vulgaires et mal aimable, lumière néon agressive, couleurs criardes
– un monoprix : lumière un peu atténuée, caissiers aimables et mignons, habillage un peu classe
Dans ma tête ça ne fait ni une ni deux : le supermarché par cher et le supermarché de luxe, pas con le h. !!
Sauf que voilà : j’ai fait mon étalonnage sur les produits de consommation courante : le pot de nutella, la bouteille de martini blanc, et le paquet de Kellog’s Extra Chocolat Pépites. Et là, c’est le drame : Champion est plus cher. Les équipes de M6 débarquent,Julien Courbet appelle les avocats, il doit y avoir erreur : on chercherait donc à rouler les gens !
L’idée que je m’en suis faite, est que pour les gens modestes, ne pas acheter ses céréales parce que c’est 4 euros (contre 3.50, ce qui fait tout de même beaucoup plus cher en proportion) est insupportable : se casser le c*l à bosser tous les jours pour à la fin ne même pas pouvoir se payer ses produits de tous les jours, c’est pas possible. Et donc on achète. Chez Champion, puisque ça a la tronche d’un supermarché pas cher.
Le riche chez Monop, lui n’a aucun complexe : 4 euros pour le céréales ? Faut peut être pas se foutre du monde !
Et c’est ainsi que les riches restèrent plus riche, et les pauvres plus pauvres.
S’ils vous plaît, dites moi que je me trompe.
Question existentielle
mardi, mai 20th, 2008Est-ce que trouver son propre profil dans « Ma recherche idéale » sur Rezog, est-ce vraiment rassurant, ou est-ce vraiment d’un égocentrisme inouï ?