Psychologie de fin de nuit

La psychologie du PD en manque un soir de sortie est tout à fait particulière (en disant ça, je me mets déjà 3/4 des gens à dos, vu que je vais parler de ce qui se passe dans ma ptite tête et faire genre tout le monde est comme ça …).

Arrivé en boite plutôt sobre, donc avec un peu de discernement, le but avoué est de passer une bonne soirée à danser, pas de chopper.

Phase 1 : Il vaut mieux rentrer seul qu’avec un moche est la pensée qui domine nos cerveaux. On danse tranquille, on mate de loin, de près, on se frotte gentiment. Et puis de toute façon, on est là juste pour danser, hein !

Phase 2 : Si on a de la chance, ya un mec intéressé, qui semble pas trop trop horrible en plus ! Mais c’est le début, on est là depuis une demie heure, on est comme Fonzy, et Fonzy il est coooooooool, faut pas se brusquer … et puis … Je peux faire mieux que ça est la seconde pensée qui arrive ! (pétasse, moi ?) A noter quand même que l’idée de repartir seul s’estompe déjà un peu avec l’alcool

Phase 3 : La vodka commence à bien faire l’effet, ça fait 2 heures qu’on tourne, là c’est bon, on a bien vu tous les mecs, on peut se fixer sa target (je tente le tout pour le tout dit le cerveau), et se prendre un vent (c’est peut-être là que j’ai tort de généraliser me souffle-t-on sur ma gauche…) .

Phase 4 :  Finalement, le mec de le phase 2 était pas si mal –  Il vaut mieux rentrer accompagné d’un mec pas trop mal que seul  !! Ah ben oui, mais pas de bol, il a pas trop apprécié de se faire snober plus tôt.

Phase 5 : Le noctilien tout seul. J’ai trop bu – qu’il pense le cerveau … et dire que je bosse demain …

Et la semaine prochaine, on recommence !

Tags: , ,