Indispensable

jeudi, octobre 30th, 2008

Je trainais dimanche dernier avec O. chez Pylonetchh tchh pas de marques, lorsque j’ai vu l’accessoire ultime qui remplace les lacets, tout en nous faisant passer pour des préados attardés.

lacets.jpg

Ce sont des élastiques à chaussures, oui oui, quand on est débile, on assume 🙂

(bien évidemment que je les ai achetés !!!)

En direct de ..

lundi, octobre 27th, 2008

Avec les amis/copains/connaissances – oui, j’ai une échelle pour tout ça, et des catégories où je range les gens, mais je vais pas non plus révéler la composition des groupes, ça foutrait une sale ambiance. Avec les amis/copain/connaissances donc, nous avons 2 fils de mails qui courrent depuis plus d’un an : le fil « nawak » et le fil « zik/mp3 » (oui le mp3 c’est MAL, mais c’est bien sûr juste pour voir si on va acheter l’album, un peu comme la préécoute à la fnac, sans le mec qui pue des oreilles et qui a le casque qui fonctionne (vu que sur les deux, il y en a toujours un qui marche pas) ).

Et dans le fil « zik/mp3 » on échange les infos sur les concerts, qui va voir quoi, où et quand, à quelle heure on se retrouve, etc… Avant, je prenais souvent 2 places partout où j’allais, je trouvais bien quelqu’un pour m’accompagner. Et puis, il y a deux semaines, j’ai vu Berry, et  ma deuxième place est restée inoccupée. Alors maintenant, je prends une seule place, ça fait vachement célibataire qui croque la vie, qui adore trop son célibat parce que comme ça il peut aller à plein de concerts. Ouais, on y croit.

Je suis donc allé seul, sans soutien amical, à la Cigale pour voir Ani Di Franco. Envoyé spécial dans un arrondissement à deux chiffres, rien que ça, pour une artiste dont je connais à peine deux albums. L’audience était principalement féminine, à forte majorité goudous, ce que j’ai trouvé plutôt cool, des goudous et des hétéros (souvent chevelus, sautant de haut en bas pendant les chansons, et avec un goût vestimentaire très discutable), ça change et c’est bien !

Première partie : Anais Mitchell, chanteuse folk sympa, et « Hamell on Trial », un excité plutôt rigolo.
Et puis Ani Di Franco, vraiment vraiment bien ! La pèche, elle enchaine chanson sur chanson, excitée sur sa guitare, sans une pause, tout en transmettant une vraie énergie à son public (conquis d’avance il est vrai, et ça aide, le public est chaud, la performance est meilleure, le public est chaud, ainsi de suite).

Bref, à tous ceux du fil « zik/mp3 », tant pis pour vous, c’était génial 😀


Discover Ani Di Franco!

-> Rien <-

mercredi, octobre 22nd, 2008

C’est horrible, là, il ne m’arrive rien.

rien du tout de croustillant à raconter, pas vraiment de râteau cuisant (principalement parce que j’évite désormais toute tentative d’approche), à peine deux parties de poker perdues à domicile (ce qui est un comble).

I. et moi réfléchissons toujours à un chat, pour arriver à la colocation vraiment parfaite, mais butons encore et toujours sur l’argument de la pelle à litière (parfois appelée pelle à m… ). Si vous avez une solution miracle de litière qui mange toute seule les déchets caninsfélins et qui va se vider dans les toilettes toute seule, faites signe !

En attendant, je meuble avec ça (vivement pour la ligne éditoriale que la saison des râteaux revienne).

Sagesse populaire

jeudi, octobre 16th, 2008

Les amis qui veulent rassurer les âmes en manque d’histoire d’amour disent souvent, et c’est vrai :

« C’est toujours quand on s’y attend pas que ça arrive ».

Ben vu comme je dévisage tous les visages dans les stations de métro, les trains, les restos, les bars, dans l’attente d’un mec, c’est pas prêt d’arriver 😀

Perdre le Nord

dimanche, octobre 12th, 2008

I. et moi aujourd’hui, profitant du beau temps et des couleurs bucoliques de l’automne sommes allés faire un tour en foret de Meudon. J’avais regardé vite fait la carte juste avant de partir, c’était facile : trouver l’entrée, tout droit, ressortir quelques kilomètres plus loin.

RER : ok
Trouver l’entrée : ok
Et sinon, euh … malgré l’aide de google maps sur le téléphone mobile, et de mon légendaire sens de l’orientation, en bleu le parcours prévu, en rouge ce qu’on pense avoir fait…

Picture_1.png

Et je n’explique toujours pas la boucle … on allait tout droit, mathématiquement, on ne pouvait pas revenir au même endroit (sauf à faire 40 000 km). Moi je vous le dit, il y a une Warp Zone dans le bois de Meudon

XY

jeudi, octobre 9th, 2008

Observé par une amie, suite à une douleur persistante dans l’estomac

  • Je refuse de prendre rendez-vous chez le médecin
  • Je dis à tout bout de champs « non mais c’est rien ça va passer »
  • et toutes les 3 minutes je crois que je vais mourir

C’est officiel, parait-il, ce sont des symptomes très clairs: je suis un mec.

Le vent frais du (petit) matin

dimanche, octobre 5th, 2008

(4h30 du matin, retour de boite, je suis en voiture)

J’avais pourtant me semble-t-il bien prévu le truc. Le trajet en voiture devait comporter 4 étapes intermédiaires, histoire de déposer tous les passagers, et l’ordre que j’avais choisi n’avait rien emprunté au hasard.

Selon mes plans prévision machiavéliques le dernier me proposait de monter boire un dernier verre (sans alcool bien sûr, je conduis !) chez lui. C’était facile et imparable.

Deuxième arrêt :

« – bon, ben dépose nous tous là, chacun finira à pieds, on habite tous tout prêt
– ah oui, parfait pour tout le monde ! »

Bon ben ça c’est fait ….

Rire pas tard

samedi, septembre 27th, 2008

Oui, c’est un calembour absolument pourri !

Je ne vous parlerai pas d’Opéra, et pourtant hier j’étais à Bastille, voir Rigoletto (j’avais prévenu pour le jeu de mots). Je ne l’avais jamais vu, à peine eu le temp de télécharger me procurer une copie d’une version avec Pavarotti, et de lire un peu l’argument sur Wikipedia . Mais je me trouverai bien mal à parler d’Opéra alors que je n’y connais rien, mais alors rien du tout.

La première partie m’a donc forcément bien plu. Même si c’est la troisième saison que j’ai un petit abonnement, je reste public facile : je ne vais voir quasiment que des trucs que je ne connais pas encore. Mes émotions se limitent donc à peu près à celle d’un enfant (« oh c’est joli », « on s’ennuie ») ou d’un homme réduit à sa plus simple expression (« pas mal lui », « tiens, j’ai envie de pisser », « je me demande si l’éléphant est plus fort que l’hippopotame » ).

Et puis à l’entracte, j’ai retrouvé mon ami Poulpi qui est un fin connaisseur. Et là j’ai compris plein de trucs, genre le Duc (enfin le chanteur qui joue le Duc, je précise hein…) est pas du tout au niveau, la direction est un peu molle, c’est poussif, la monaie scripturale n’a pas de pouvoir libérateur immédiat, et autres choses utiles; et j’ai bien été obligé d’être d’accord. Ça nous ramène à l’éternelle question : doit-on éclairer les hordes ignorantes, les empêchant ainsi d’apprécier les choses médiocres ? (bon j’exagère, c’était tout de même pas trop mal !), parce que moi j’étais content avant de comprendre ces choses là !

Seconde partie, un peu plus enlevée, dommage seulement en effet que le Duc ne fut pas puissant et expressif (ou alors il était peut-être enroué). A noter un Rigoletto et un Gilda tous deux très très convainquant (encore une fois, pour un néophite complet).

Quoi qu’il en soit, je ne vous parlerai pas d’Opéra.

La matière et la manière

lundi, septembre 22nd, 2008

Il y a deux manières de passer de bons moments au sauna [insérer le nom du Sauna de débauche ici] :

  • Scénario 1 (s’il y a matière): plein de mecs mignons, un peu de stupre et de luxure pas besoin de vous faire un dessin
  • Scénario 2 (sinon) : croiser une connaissance et dire du mal des autres clients pendant une heure

Après midi créative

dimanche, septembre 21st, 2008

I. avait acheté un kit de peinture à l’huile (qui est comme chacun sait bien plus difficile mais plus belle que la peinture « allo »). Nous voilà donc, dans un atelier peinture à trois (faute de ménage à trois 🙂 ).

C’est donc à ça que j’ai passé l’après midi … je ne veux AUCUN commentaire sur mes talents de dessinateur ! J’ai passé un excellent moment, c’est le seul résultat qui compte 🙂

Peinture.jpg

A ma décharge, c’est pas du tout ce que j’avais en tête quand j’ai commencé !